La (science) fiction de l'été : RIPD

Publié le par Chippily

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Morale de "RIPD" : ne JAMAIS engager Ryan Reynolds si vous voulez faire un film qui marche.

Pitcho, mon pitch : son cadavre est encore chaud quand Nick (Ryan Reynolds) est recruté par le "Rest In Peace Department", la police de l'au-delà. Son but : traquer les morts-vivants planqués sur Terre et les ramener fissa dans le royaume des morts...

"RIPD" est sans doute LE film de l'été assassiné par la critique. Assez ironique quand on sait que l'histoire parle de flics décédés. Un échec critique... et public puisque le film a attiré seulement un peu plus de 200 000 spectateurs en France. Ouch.

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Pourtant, "RIPD" n'est pas le navet, l'horrible série Z annoncée par la presse. Il est simplement, et tout bonnement, anecdotique. La faute à pas mal de défauts : pas d'évolution (ou si peu, ou mal faite) dans la relation entre les personnages, un objet magique qui sort de nulle part (quand on veut bien faire, on essaye quand même de créer une mythologie autour), des scènes surjouées, ou alors balançées vite fait...

N'empêche, il y a des choses sympas dans ce "RIPD" : la blonde et le Chinois, les obsessions d'un autre temps de Roy (aka Jeff Bridges)... Reste à comprendre Jeff Bridges et son accent mâchonné, incompréhensible pour tout Français (- tout être humain ?).

A noter : la présence de Robert Knepper (qui sort ENCORE sa langue) en mort-vivant. Robert : l'acteur qui joue tout le temps des méchants, même s'ils sont morts.

Homer 2

Publié dans CiNéMa

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