Joséphine [n'ose pas]

Pitcho, mon pitch : il faut croire que Joséphine n'a pas d'ange gardien (oui, je sais, elle était facile celle-là). C'est simple, dans sa vie, tout part en sucettes : son boulot, ses amis, ses amours... Joséphine essaye alors de reprendre les choses en main (on a dit "essayer", hein).

Les comédies sentimentales se suivent et se ressemblent : une situation initiale désespérante (Joséphine sous la pluie, le sourire en berne) ; un type avec une tête de Monsieur-tout-le-monde qui finalement ravira le coeur de l'héroïne ; une héroïne qui accumule les gaffes... "Joséphine" n'échappera pas non plus à la règle, dit "syndrome post-Bridget Jones". Mais, ouf, on pourra toujours se réjouir d'une bonne ambiance communicative et de deux petites trouvailles assez bien senties (un appart pour 2 et le duo improbable de menteurs éhontés).